Le Minot d’or

Pour clore son cycle de conférences saisonnier, notre Unité vous convie à la projection exclusive du film Le Minot d’or d’Isabelle Raynauld, récipiendaire du Jutras du meilleur documentaire en 2002. Ce film nous plonge dans le quotidien de trois personnes diagnostiquées avec une déficience intellectuelle légère, en période de désinstitutionnalisation. Une chance unique de voir ce film singulier et émouvant.

Au Cinéma moderne à Montréal, le 29 avril 2024 à 15h30. Entrée gratuite, dans la limite des places disponibles.

Les soins de santé au prisme du sensible


L’Unité de recherche sur l’histoire du nursing présente un nouveau cycle de conférences pour l’Hiver 2024 autour de la thématique des soins de santé au prisme du sensible. Retrouvez-nous un jeudi par mois de 12h00-13h30

Les soins de santé au prisme du sensible : Entre histoire et présent, les interventions du séminaire d’hiver 2024 de l’URHN interrogeront les questions des soins de santé, des soignant·es et des soigné·es au prisme du sensible. Dans ce contexte, le sensible est entendu dans une compréhension vaste, recouvrant le continuum des sens, des sensations et des émotions. Au-delà du contenu, notre intérêt se porte également sur les sensibilités ayant pu guider les chercheuses dans leur projet sur ces thématiques. Quelle place pour les sens, les sensations et les émotions dans les soins de santé ? Quel regard sensible les sciences humaines portent-elles sur les soins de santé ?

Les cinq chercheuses invitées ont toutes un lien, tant dans leur méthode que dans leur contenu, avec l’histoire des soins de santé et l’histoire sensible. Leurs multiples points de vue permettront à l’auditoire d’affiner et de préciser ce que ces histoires recouvrent. 

Entrée libre, lien zoom à demander à sophie.richelle@ulb.be

25 janvier 2024 : Camille Joanisse (Ph.D. (c) santé des populations, Faculté des sciences de la santé, Université d’Ottawa) : La poésie comme démarche d’analyse: place aux émotions

15 Février 2024 : Mathilde Rossigneux-Méheust (Université Lyon 2, LARHRA, IUF) : Enquêter sur un fichier d’indésirables en maison de retraite (1956-1980)

14 mars 2024 : Anne Jusseaume (Université d’Artois, CREHS UR 4027, IUF) : Le soin des pauvres. Vocations féminines dans le Paris du XIXe siècle. Retour sur une enquête

18 avril 2024 : Sophie Richelle (Université d’Ottawa) et Natalie Stake-Doucet (Université de Montréal/Université d’Ottawa) : Soignant·es et soigné·es au prisme du sensible – présentation de recherches en cours.

Une nouvelle stagiaire postdoctorale (2)

Cette année, notre Unité a aussi le plaisir d’accueillir Natalie Stake-Doucet à titre de stagiaire postdoctorale.

Infirmière, chercheuse et activiste, Natalie est actuellement professeure à la faculté des sciences infirmières de l’Université de Montréal. Elle s’intéresse à l’agentivité politique infirmière et à l’histoire de la résistance des infirmières au Québec et dans le monde. Elle s’intéresse également à l’histoire infirmière dans une perspective féministe et décoloniale, afin d’avoir un vision globale du travail infirmier qui ne se limite pas aux frontières du système professionnel. Elle est aussi infirmière bénévole avec l’organisme Médecins du monde. Sa recherche postdoctorale porte sur la théorie et les pratiques de l’agentivité politique infirmière. Bienvenue à elle !

Vieillir en institution

Notre stagiaire postdoctorale Sophie Richelle participera le 16 novembre prochain à Montréal à une rencontre sur le vieillir en institution, organisée en partenariat avec le CHRS. La conférence sera également accessible en ligne. Pour s’inscrire, il suffit d’écrire à petit.kim@uqam.ca

Sandra Harrisson récompensée.

Notre directrice adjointe Sandra Harrisson a reçu le prestigieux Scholarship into practice Award des Universités de l’Ontario. Son approche innovante en matière de recherche a permis, selon le comité, de repenser le travail interdisciplinaire qui reconnaît le potentiel de tous les membres de la santé à contribuer à la qualité de vie des résidents des établissements de soins pour personnes âgées et ceux qui reçoivent des soins à domicile.

Bravo à elle !

Une nouvelle stagiaire postdoctorale

Pour l’année universitaire 2023-2024, et grâce à un financement belge, l’Unité a le plaisir d’accueillir une nouvelle stagiaire postdoctorale en la personne de Sophie Richelle.

Sophie Richelle est docteure en histoire de l’Université du Luxembourg.  Après un travail de fin d’étude sur les femmes aliénées de l’asile de Bailleul, elle a réalisé une thèse sur les hospices bruxellois d’assistance publique pour personnes âgées qui a été publiée aux Presses universitaires de Rennes, puis un post-doctorat sur les bains publics des villes belges qui aussi conduit à la publication d’un ouvrage aux Éditions de l’Université de Bruxelles. Ses recherches croisent les notions d’espaces et d’expériences du passé. À travers son parcours, elle place au centre de son attention l’expérience sensible, matérielle et humaine d’espaces resserrés et particuliers. Elle tente de raconter l’histoire de celles et de ceux qui avaient laissé peu de traces.

Elle approfondit aujourd’hui ses questionnements avec un post-doctorat à l’Université d’Ottawa sur la prise en charge des femmes âgées à l’hospice et à l’asile. Que faisait-on et qu’ont vécu les « vieilles folles » au tournant des 19e et 20e siècles ? Quelles différences de prise en charge y-avait-il entre les hospices et les asiles ? C’est ce qu’elle tente de découvrir en plongeant dans les archives de Sœurs de la Providence de Montréal.

Sophie Richelle a également une attention particulière pour les manières de raconter l’histoire. Celle-ci se traduit par la production de formats originaux de diffusion des connaissances, notamment la réalisation de podcasts

Bienvenue à elle !

Les nouvelles sources de l’histoire de la santé

Les nouvelles sources de l’histoire de la santé

Appel à communications et à panels

Pour un colloque envisagé dans le cadre de l’ACFAS 2024 qui se tiendra en mai 2024 à l’Université d’Ottawa (Canada).

Organisé par le réseau Historien.nes de la santé, en partenariat avec l’Unité de recherche sur l’histoire du nursing de l’Université d’Ottawa et la Chaire de recherche sur la francophonie canadienne en santé.

Responsables du colloque : Alexandre Klein, Marie-Claude Thifault et Sandra Harrisson

Depuis une vingtaine d’années maintenant, l’histoire de la santé s’est imposée dans l’historiographie francophone comme un champ de recherche à part entière[1], suscitant tout à la fois la curiosité et l’inventivité de plusieurs générations d’historiennes et d’historiens. Dépassant les cadres étriqués de l’ancienne histoire médicale ou philosophique de la médecine, ils et elles ont quitté les textes savants, les médecins fameux et les institutions réputées pour se glisser au plus près du vécu et des pratiques des acteurs et actrices, officiels ou non, de la santé[2]. Mêlant l’histoire des sciences et des techniques à l’histoire par le bas, l’histoire sociale ou l’histoire des mentalités, des représentations et des sensibilités, ils et elles ont défriché de vastes et nouveaux terrains de recherche que ce soit dans le domaine de l’histoire des patient.es, de l’histoire des professions dites « paramédicales » ou de l’histoire des pratiques de soins et de leurs multiples acteur.ices.

L’un des principaux vecteurs de cette réinvention de l’histoire médicale fut la (re)découverte de nouvelles sources. S’éloignant des traditionnels traités médicaux, revues savantes ou actes officiels de congrès, l’histoire de la santé s’est écrite sur la base de nouveaux documents ou de nouvelles lectures de documents déjà connus[3]. Ainsi a-t-on vu l’histoire des patient‧es se forger dans les correspondances et autres égodocuments[4], ou encore au cœur des dossiers médicaux[5] sur lesquels les historien‧nes ont réussi à mettre la main, souvent aux termes de longues négociations. L’histoire des infirmières psychiatriques s’est par exemple également appuyée sur ces sources inédites pour faire entendre la voie de ces soignantes à part entière, toujours présentes, mais pourtant silenciées par l’historiographie traditionnelle[6]. Les archives privées ont également permis de voir émerger des institutions ou des personnages secondaires et oubliés[7], tandis que les archives militaires[8], judiciaires[9] ou financières[10] offraient des occasions d’envisager sous d’autres angles des lieux ou des pratiques de soins. Le recours aux archives orales[11], radiophoniques ou cinématographiques[12] a également permis de faire sortir de l’ombre (ou du silence) des voix jusqu’alors ignorées de l’histoire de la santé. Bref, une multiplicité de sources nouvelles ou de regards nouveaux portés sur des sources déjà connues a assuré un développement sans précédent à l’histoire francophone de la santé, révélant tant sa profonde diversité que sa grande richesse historiographique.

C’est sur cette question particulière des sources de l’histoire francophone de la santé et de leurs effets historiographiques que nous souhaitons nous pencher lors de cette rencontre. Quelles sont les nouvelles sources de l’histoire de la santé ? Comment les travailler ? Quelles modifications du regard historien, de la méthodologie ou de l’approche historiennes ont-elles engendrées ? Quelles difficultés, obstacles ou défis impliquent-elles pour l’historien.ne ? Quel rôle a pu jouer l’interdisciplinarité dans leur découverte, leur usage ou leur approche ? Comment s’organise le dialogue avec les sources plus traditionnelles de l’histoire médicale ? Quel rôle pour les archivistes dans ce nouveau mouvement historiographique ? Telles sont quelques-unes des questions qui pourront être abordées par les communications ou les panels proposés pour cette rencontre qui vise à plonger dans l’atelier même de ces historien.nes de la santé qui renouvellent ce champ d’études à part entière et l’affirment ainsi comme un incontournable de l’historiographie contemporaine.

Les propositions de communications (maximum 500 mots) ou de panels (3 à 4 résumés de communications accompagnés d’un résumé du panel de 250 mots maximum) sont à envoyer avant le 30 novembre 2023 à aklein@uottawa.ca.


[1] Alexandre Klein et Séverine Parayre (dir.), Histoire de la santé (XVIIIe-XXe siècles). Nouvelles recherches francophones, Québec, Presses de l’Université Laval, 2015

[2] Alexandre Klein, « L’histoire de la santé : le renouveau interdisciplinaire de l’historiographie médicale francophone », Revue d’histoire de l’Université de Sherbrooke, vol. 9, no 2, automne 2016, http://rhus.association.usherbrooke.ca/wp-content/articles/921.pdf  

[3] On peut penser ici au travail de Philippe Artières et Janine Pierret sur le sida : Philippe Artières et Janine Pierret, Mémoires du sida. Récit des personnes atteintes. France, 1981-2012, Paris, Bayard, 2012.

[4] Micheline Louis-Courvoisier et Séverine Pilloud, « Le malade et son entourage au XVIIIe siècle : les médiations dans les consultations épistolaires adressées au Dr Tissot », Revue médicale de suisse romande,

vol. 120, no 12, 2000, p. 939-944 ; Séverine Pilloud, « Mettre les maux en mots, médiations dans la consultation épistolaire au XVIIIe siècle : les malades du Dr Tissot », Bulletin Canadien d’histoire de la médecine, vol. 16, no 2, 2000, p. 215-245 ; Philippe Rieder, Le figure du patient au XVIIIe siècle, Genève, Droz, 2010 ; Séverine Pilloud, Les mots du corps : expériences de la maladie dans les lettres de patients à un médecin du XVIIIe siècle : Samuel-Auguste Tissot, Lausanne, BHMS, 2013 ;

[5] André Cellard et Marie-Claude Thifault, Une toupie sur la tête. Visages de la folie à Saint-Jean-de-Dieu

au tournant du siècle dernier, Montréal, Boréal, 2007 ; Hervé Guillemain, Schizophrènes au XXe siècle.

Des effets secondaires de l’histoire, Paris, Alma, 2018 ; Benoît Majerus et Anne Roekens, Vulnérables. Les

patients psychiatriques en Belgique (1914-1918), Namur, Presses universitaires de Namur, 2018.

[6] Voir par exemple : Sandra Harrisson, Déshospitalisation psychiatrique au sein de la communauté francophone est-ontarienne, 1976-2006 : une approche socio-historique. Thèse doctorale déposée à la bibliothèque de l’Université d’Ottawa, 2017.

[7] Voir par exemple : Hervé Guillemain, « Des institutions privées d’histoire. Enquête sur les archives d’entreprises capitalistes dédiées à la gestion de la folie (France, 1930-1950) », Santé mentale au Québec, volume 41, numéro 2, automne 2016, p. 101-118 ou Alexandre Klein, « Charlotte Tassé (1893-1974), infatigable promotrice du modèle de la garde-malade canadienne-française », Recherche en soins infirmiers, vol. 134, no. 3, 2018, p. 78-93.

[8] Aude-Marie Lalanne Berdouticq, « La politique des indicateurs. Usages politiques et scientifiques des indices d’aptitude militaire, France/Grande-Bretagne, 1914-1923 », Histoire, médecine et santé, 22 | 2022, p. 105-122.

[9] Fleur Beauvieux, « “ […] l’ayant secouru jusque a la mort”. Les relations sociales à Marseille en

temps de peste (1720-1722) », Histoire sociale/Social History, vol. LIV, no 112 (Novembre / November 2021), p. 529-550.

[10] Pauline Teyssier, « Financer le traitement de la folie entre Révolution et Empire : une approche de la maison de Charenton par les comptes (1797-1814) », Annales historiques de la Révolution française, vol. 407, no. 1, 2022, p. 179-204.

[11] Martine Sin Blima-Barru, « Des sources complémentaires aux archives orales collectées par le Comité d’histoire de la Sécurité sociale », Revue d’histoire de la protection sociale, vol. 10, no. 1, 2017, p. 192-193.

[12] Raphaël Tinguely, « Des films pédagogiques pour le personnel infirmier en psychiatrie de la Waldau dans les années 1920-1930 ? » Cinéma et psychiatrie en Suisse et en Europe, 9 mai 2021, https://waldau.hypotheses.org/397 .

Bourses d’initiation à la recherche – Été 2023

L’Unité de recherche sur l’histoire du nursing met au concours des bourses d’initiation à la recherche d’une valeur de 800$ pour des étudiant.es au baccalauréat en sciences infirmières, autour de 4 projets distincts.

Les étudiant.es retenu.es devront s’engager à travailler 21 heures (3.5 h/sem) du 1er mai au 15 juin sous l’étroite supervision des chercheur.es responsables des projets ciblés. La sélection des boursier.es se fera sur la base de la qualité du dossier universitaire et l’habilité à justifier par écrit leur intérêt pour l’un des projets proposés.

Si vous êtes intéressé.es, merci d’envoyer un court CV et une lettre d’intention à nhru@uottawa.ca avant le 10 avril 2023.

Projet 1 : Expériences des infirmiers gais et lesbiennes pendant la pandémie du VIH/Sida

Sous la supervision de Carl Jacob (Université d’Ottawa)

Ce projet de recherche donne suite à celui réalisé auprès des médecins gais, il y a quelques années (2012). Il consiste à, selon la charge de travail à chaque étape et le temps disponible : a) poursuivre la recherche de littérature débutée, il y a quelques années; b) monter une liste bibliographique avec les documents trouvés; c) construire une grille d’analyse basée sur les résultats de la recherche auprès des médecins gais, afin d’y inscrire les informations contenues dans les documents trouvés; et c) débuter l’analyse des documents trouvés en utilisant la grille d’analyse crée pour y inscrire les informations au fur et à mesure des lectures.

Exigence spéciale : Le ou la stagiaire doit obligatoirement être bilingue.

Projet 2 : Histoire des accidents du travail des infirmières de l’Hôpital d’Ottawa

Sous la supervision d’Éric Girouard (Hôpital d’Ottawa)

Chaque année un grand nombre d’infirmiers et d’infirmières se blesse à la suite de manœuvres physiques pour repositionner ou déplacer un.e patient.e. Dans certains pays, l’infirmier.ère n’a pas à effectuer ces efforts. Ce geste peu questionné est pourtant devenu une pratique courante du travail infirmier. Comment le rôle de l’infirmier.ère canadien.ne est-il venu à inclure cette charge de travail? Est-ce que les infirmier.ères ont toujours réalisé cette tâche? Si oui, quel est l’impact de cette activité sur la santé des infirmières au cours de l’histoire? Si non, quel est l’évolution des méthodes de travail pour le déplacement des patients?

Plus largement, quelle est donc l’histoire des conditions de travail des infirmières concernant le déplacement sécuritaire de celles et ceux qu’on nomme aujourd’hui les bénéficiaires? C’est ce que ce projet d’initiation à la recherche vise à établir à partir d’une étude de la littérature à ce sujet (si elle existe) et de l’exploration d’archives (qui restent encore à déterminer).

Projet 3 : L’histoire de D. Lowes

Sous la supervision d’Alexandre Klein (Université d’Ottawa)

L’Unité de recherche sur l’histoire du nursing a hérité d’une boite d’archives concernant une infirmière ontarienne ayant pratiqué au milieu du XXe siècle. Le carton contient des ouvrages, des notes de cours, des photographies, mais aussi des objets lui ayant appartenus. Le travail consisterait à classer et classifier ces documents et à tenter de retracer le parcours de cette infirmière (de sa formation à sa retraite en passant par sa pratique). Une dimension d’histoire orale pourrait s’y ajouter au besoin, sous la forme d’entretiens avec son fils. 

Projet 4 : Les histoires sur l’Hôpital Rivière-des-Prairies rapportées dans les médias (1985-1986)

Sous la supervision de Marie-Claude Thifault (Université d’Ottawa)

C’est en juin 1985 que débute la commission d’enquête sur l’administration et le fonctionnement de l’Hôpital Rivière-des-Prairies (HRDP) menée par l’avocat Richard Shadley. Il a pour mission de 1) vérifier l’existence d’actes répréhensibles, criminels, tels qu’assauts, abus sexuels et présence de drogues; 2) vérifier l’existence des choses qui seraient inacceptables, des choses acceptables, mais utilisées de façon abusive ou des choses qui doivent être améliorées; 3) examiner l’emphase mise sur le côté médical par rapport à celle mise du côté réadaptation, rééducation et réhabilitation, selon les besoins des patientes et patients de l’institution montréalaise spécialisée en pédo-psychiatrie.

Constituer une base de données à partir de la revue de l’actualité tirée des journaux et des médias qui s’enflamment, dans les années 1980, au sujet des piètres conditions dans lesquelles vivent les pensionnaires de l’HRDP. Ces révélations mèneront au déclenchement d’une enquête publique le 27 avril 1985.

Les représentations de la folie et de la santé mentale dans les arts

Les représentations de la folie et de la santé mentale dans les arts

Séminaire de l’URHN-NHRU Hiver 2023

Un mardi par mois à 12h (heure de Montréal) sur Zoom

31 janvier 2023 : Elisa Vial (Université du Québec à Montréal) : Les enjeux sociaux de la représentation de la folie dans les jeux vidéo


28 février 2023 : Emily Landry-Lajoie (Université de Montréal) : Représenter les troubles mentaux au cinéma et à la télévision


28 mars 2023 : Juliette Naviaux (LAHRA) : Le Festival Psy de Lorquin, du reflet de la psychothérapie institutionnelle à la mémoire médicale. 18 ans de prise en charge psychiatrique à l’écran, 1977-1995


25 avril 2023 : Charlotte Lecompte (Réalisatrice) et Louise-Marie Ménard : À propos du film Adonia

Inscription : nhru@uottawa.ca